À propos de TC Poetry


L'histoire
Thomas Célérier est un poète dont les œuvres ont été publiées et distinguées par plusieurs prix littéraires.
Son écriture explore la beauté de la nature, la profondeur des émotions humaines, et ces liens subtils qui naissent entre les cultures. Ancrée dans les communautés françaises, espagnoles et américaines, sa voix poétique mêle intimité, modernité et ouverture.
Un aspect essentiel de son travail est son engagement à rendre la poésie accessible et inclusive. Qu’il s’agisse de recueils publiés ou de performances en direct, il cherche à créer une langue qui parle à chacun, tout en renouvelant les formes poétiques pour qu’elles résonnent avec le public d’aujourd’hui. Au-delà de l’écriture et de la scène, Thomas crée activement des espaces de dialogue et de rencontre. Il anime des ateliers, participe à des initiatives culturelles et encourage les échanges interculturels à travers la poésie.
Convaincu que la poésie est un pont entre les êtres, il œuvre à amplifier des voix diverses et à renforcer les liens humains. Il est également le créateur d’un concours de poésie destiné aux jeunes, lancé il y a trois ans et devenu depuis une initiative internationale annuelle. Cet événement est désormais un moment privilégié où enfants, adultes, enseignants et organisations culturelles se retrouvent pour célébrer ensemble la poésie et la créativité !
"La poésie n’ajoute pas, elle façonne."
Thomas Célérier, Poète de Cupertino
Je crois que la poésie n’est pas seulement une forme d’art, mais un instrument citoyen, capable de rassembler les voix éparses d’une ville en un souffle commun.
À Cupertino, où l’innovation rencontre la migration et où la tradition se mêle à la transformation, la poésie peut devenir un miroir, un pont et une lentille.
Un miroir, qui reflète l’architecture émotionnelle de ses habitants (parents, codeurs, étudiants, retraités) dont la vie intérieure demeure trop souvent absente du dialogue public.
Un pont, qui relie cultures et générations en créant des espaces accessibles où l’expression compte davantage que la perfection : scènes ouvertes dans les centres communautaires, rencontres entre collégiens et anciens combattants, ou haïkus gravés dans les trottoirs.
Et une lentille, qui focalise notre attention sur ce que nous négligeons parfois : le silence après la fumée des incendies, la texture des langues dans une classe de CE2, la patience des vergers sous le ciel traversé par les drones.
En tant que Poète Lauréat, j’imagine la poésie comme un moyen de rendre l’engagement civique plus personnel et émotionnellement vibrant. Cela pourrait prendre la forme d’ateliers collaboratifs avec les seniors du Quinlan Community Center, de dialogues poétiques entre générations, ou de poèmes affichés dans les abribus: assez courts pour être lus en attendant, assez profonds pour accompagner le trajet.
Dans cette vision, la poésie n’est pas ornementale. Elle est structurelle : tissée dans notre manière de nous regarder, de dire « chez nous », et de bâtir une identité civique à la fois plurielle et poétique.
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